jeudi 28 juin 2012

Mes excuses

Bonsoir vu l'heure !
je suis venu m'excuser de mon absence prolongé, étant un poil stressé j'ai pris un moment pour me détendre et faire un petit point.
Mais je vais revenir très bientôt avec pleins de recettes simple et très rapide.
des infos sur la diététique des végétaliens et végétariens.
Et bien sur des photos car je suis aussi photographe et je m'en étais éloigné ces derniers temps sans le vouloir mais plutôt a cause de mon morale bref !
A très bientôt et merci de vos visite régulière !
Surtout n'hésiter pas a laisser des petits commentaires ça fait toujours plaisir!

Lily

samedi 16 juin 2012

Evolution du blog

Etant étudiante en diététique je pourrais vous proposer des articles plus diététique sur le végéta*isme.
Sinon des recettes, ou différents articles sur des produits diététiques et végé.

 A vous de me dire ce qui vous intéresse le plus !

A vos commentaires !!

mercredi 13 juin 2012

Test : Faux Fromage Ail et Fines Herbes

Creamy Smooth, Garlic and herbs TOFUTTI

LE tant attendu Test du faux fromage a tartiner ail et fines herbes!
Je vais être honnête il est cher pour ce que c'est.
3.90€ pour a peine 225gr. Quand on l'ouvre on a le visuel d'un pot d'enduit de rebouchage ... (oui je suis très honnête j'avais prévenu) mais au tratinage la texture relève quand même d'un jolie travail.
Au goût on sent très fort le Tofu malheureusement ... MAIS ensuite on sent bien l'ail et les herbes et c'est bon. Je n'ai pas eu l'occasion de cuisiner avec, uniquement en tartine et j'ai apprécier mais je n'en reprendrais ou alors je tenterais une autre marque.


Ingrédients : eau, huile de fèves de soja partiellement hydrogénée, protéine de soja isolée, édulcorant à base de maïs, tofu, acide lactique, sucre, stabilisant (graines de caroube, gomme de guar et carraghénanes), épices, persil, ail, sel, émulsifiants (mono et diglycérides), conservateur (sorbate de potassium).
Poids : 225g 3.90€

dimanche 10 juin 2012

Article de Blog : En France les végétariens gagnent du terrain

Article paru le 10 juin 2012 sur le Blog "Quand l'appétit va"


Ce mois-ci, Terra Eco propose un dossier intitulé “Et si les végétariens avaient raison?”… Même si “on est encore très loin d’un raz-de-marée tofu-graines germées”, le végétarisme gagne du terrain en France ces derniers temps (le nombre d’adhérents de l’Association végétarienne de France a doublé en 3 ans, Picard sélectionne des produits végétariens, les excellents restos végétariens se multiplient, des “gens de lettres” dévoilent leurs tendances végétariennes…).
Les chiffres au sujet des végétariens se font rares et le dossier de Terra Eco les actualise avec un récent sondage réalisé avec Opinion Way sur un échantillon de 1000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Ce qui donne des données intéressantes sur le végétarisme en France:
- 3% des personnes interrogées se disent végétariennes. En 2007, l’Union végétarienne européenne avançait le chiffre de 2% pour la France… En comparaison, les végétariens sont 6% au Royaume-Uni et 9% en Suisse et en Allemagne.
- 75% des végétariens interrogés le sont pour ne pas faire souffrir les animaux…67% veulent aussi “consommer de façon responsable et protéger l’environnement”, et 53% pensent à des questions de santé.
- 59% des végétariens jugent que leur vie sociale pâtit de leur régimes alimentaire, à cause de réflexions désobligeantes ou de marques d’incompréhension.
- 55% des non-végétariens pensent que ce régime alimentaire est dangereux pour la santé, et 57% pensent qu’il est inutile ou sans intérêt.
- 27% des non-végétariens seraient prêts à le devenir, ou au moins à devenir “flexitarien”, c’est à dire végétarien à mi-temps…
- 56% des végétariens affirment qu’ils ont du mal à se nourrir selon leur choix en France, notamment dans les restaurants et les snacks. Pour eux, il serait plus facile d’être végétarien dans un autre pays…
Enfin, notez que dans ce dossier, un article sur “la chute de l’ancien régime carnivore” permet de démonter certaines idées reçues sans doute souvent entendues par les végétariens de France et d’ailleurs. Par exemple, l’argument “Sans viande, bonjour les carences: protéines, fer, vitamine B12″ est contré par une déclaration de l’Association Américaine de diététique: “les alimentations végétariennes (y compris végétaliennes) bien conçues sont bonnes pour la santé”. Les acides aminés présents dans la viande peuvent aussi être dénichés dans une combinaison de céréales et de légumineuses. On y trouve aussi du fer, comme dans les brocolis, les haricots verts, les prunes…
Autres idées reçues, “la blanquette n’est pas de la viande, c’est de la gastronomie” (mais aujourd’hui, les légumes ont toute leur place dans la gastronomie française, et la viande n’est plus la base absolue de la bonne cuisine…) ou “sans élevage, il n’y a pas d’agriculture de qualité”: mais la plupart des végétariens sont surtout contre les élevages industriels et la surconsommation, et ne veulent quand même pas éradiquer toute trace d’élevage sur la terre…

Article de Presse : et si les végétariens avaient raison ?

Article paru dans le magasine TerraEco le 24 mai  2012.

Ne plus faire souffrir les animaux, refuser leurs conditions d’élevage, réduire son impact écologique sur la planète. Les raisons qui poussent un nombre croissant de Français à se détourner de la viande ne manquent pas. Et la minorité, souvent moquée, devient tendance. La bidoche cessera-t-elle bientôt d’être un horizon indépassable pour notre assiette ?



Une vague végétarienne déferle-t-elle sur la France ? Pas si vite. On est encore très loin d’un raz-de-marée tofu-graines germées. Les chiffres en la matière sont rares. L’Union végétarienne européenne avance qu’au pays du bœuf bourguignon le nombre de végétariens tourne autour de 2 % de la population. Ils seraient 3 %, selon notre sondage (lire ici). Ce qui place la France en queue de cortège européen. Ils sont en effet 6 % au Royaume-Uni, 9 % en Suisse et en Allemagne. Pas de quoi craindre l’extinction des boucheries. Pourtant, le végétarisme marque des points dans l’Hexagone ces temps-ci. Des indices ? On vous les donne pêle-mêle. Le nombre d’adhérents à l’Association végétarienne de France a doublé en trois ans.
Un joli logo « Convient aux végétariens » a fait son apparition sur une sélection de produits surgelés de la chaîne de supermarchés Picard. Dans la capitale, il n’y a pas si longtemps, les rares restos sans chair animale dans l’assiette faisaient fuir les gourmets avec leurs jus de carotte fadasses et leur triste riz complet macrobiotique. Mais depuis peu fleurissent des adresses bien plus attirantes.« Un vent de glamour, venu des pays anglo-saxons, souffle sur la planète veggie parisienne », écrit même Alcyone Wemaëre, auteure d’un indispensable guide Paris végétarien (Parigramme, 2012).
Glamour, les végétariens frenchy ? Pas tant que ça. Chez nous, pas de Natalie Portman, l’actrice oscarisée, ou de Paul et Stella McCartney, l’ex-Beatle et sa fille styliste, pour faire l’apologie de la vie sans viande. Non, ce que nous avons – depuis peu –, ce sont des intellos qui font leur coming out végétarien, avec des arguments philosophiques.
Le coming out des gens de lettres
Marcela Iacub, juriste, essayiste et chroniqueuse dans Libération est connue pour bousculer les idées reçues, sur la sexualité notamment. Mais l’an dernier, dans son ouvrage Confessions d’une mangeuse de viande (Fayard), c’est en végétarienne subitement convertie qu’elle surprend. Cette Argentine élevée comme il se doit à la parrilla, le barbecue local, à qui les bouchers parisiens faisaient de l’œil tant sa passion pour leur art était grande, a subi un choc profond en lisant un texte de Plutarque, Manger la chair.
Le grand patron de l’hebdomadaire Le Point, Franz-Olivier Giesbert, connaît lui aussi ce texte de Plutarque. Mais son dégoût pour les animaux morts lui vient, à l’origine, de son amour pour saint François d’Assise. Il consacre à son statut de végétarien quelques chapitres de son dernier essai, paru au début de l’année, Dieu, ma mère et moi (Gallimard). Alors, non, c’est vrai, tout ça ne forme pas un raz-de-marée végétarien… Mais on peut, sans trop exagérer, parler d’une nette tendance. La meilleure preuve ? Elle nous vient de l’industrie de la viande elle-même. René Laporte et Pascal Mainsant ont tous les deux fait leur carrière dans le secteur, sont membres de l’Académie de la viande – un organisme chargé d’en faire la promotion – et viennent de signer La viande voit rouge, chez Fayard. Ce qu’ils appellent le « front antiviande » – cette « sorte de galaxie de la cause “ animalitaire ” et environnementale » – fait, selon eux, beaucoup de bruit. Et ça les énerve.
Prise de conscience
Les deux auteurs essayent, avec plus ou moins de bonne foi, de démonter les arguments « anti-viande ». Pour eux, tout va bien, on peut continuer comme si de rien n’était. Il n’y a pas de souffrance dans les abattoirs. On peut nourrir la planète, avec 9 milliards d’humains en 2050, en consommant toujours autant de viande. La FAO, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, qui rend l’élevage responsable de 18 % des émissions de gaz à effet de serre ? Elle exagère, tout simplement.
Il faut dire que les charges médiatiques contre l’industrie de la viande se sont multipliées ces derniers temps. Il y a eu l’enquête Bidoche de Fabrice Nicolino en 2009 (aujourd’hui en poche, chez Babel) décrivant un « système échappant à tout contrôle social et moral ». En 2010, c’est le Faut-il manger les animaux ? (L’Olivier) de Jonathan Safran Foer qui a frappé les esprits. Au terme d’une longue et passionnante plongée dans l’élevage industriel et traditionnel, l’écrivain américain conclut que « la viande éthique est une promesse, non une réalité » et prend la décision de devenir végétarien. En 2011, on a pu lire encore dans Le livre noir de l’agriculture, d’Isabelle Saporta (Fayard), l’abominable calvaire subi par les cochons avant de devenir lardons. La télé aussi s’y met et à des heures de grande écoute. Arte passait une soirée entière en mars dernier à nous demander « Faut-il manger de la viande ? » Et un mois plus tôt, Envoyé spécial, sur France 2, diffusait un reportage baptisé « La viande dans tous ses états » qu’il était déconseillé de montrer aux moins de 10 ans. Et pour cause : on y voyait des scènes de souffrance animale insoutenables. On y apprenait aussi que 30 des 275 abattoirs français présentent des défauts importants, voire graves, et devraient être fermés, selon l’Union européenne !
Emotions et barquettes en plastique
Impossible de se confronter à ces réalités, puis de mettre un bifteck dans son assiette sans malaise. Impossible, si l’on commence à regarder son jambon en face de ne pas s’interroger sur la crise écologique et sur notre rapport aux animaux. 75 % des personnes que nous avons sondées affirment être végétariennes pour ne pas les faire souffrir. C’est la principale motivation. Pas étonnant. Car, dit en substance la philosophe Florence Burgat, auteure d’Une autre existence : la condition animale (Albin Michel, 2012), notre époque vit un paradoxe violent.
D’un côté, on prend conscience que les animaux ont des émotions aussi complexes que les nôtres. De l’autre, les milliards de bêtes que nous tuons chaque année nous apparaissent sous forme de simples produits, dans des barquettes en plastique ! Alors les végétariens ne sont pas encore légion, certes. Mais leur mode de vie nous met face à nos contradictions. Les questions qu’ils soulèvent se glissent de plus en plus dans le débat sur notre alimentation. Et si on commençait à y réfléchir sérieusement ? A table ! —

lundi 4 juin 2012

Test : Faux chorizo

SpaceBar Chorizo (bio) 

Petite barre de chorizo de 40g à emporter partout et en plus de ça, le goût et la texture sont géniale!
Un léger goût piquant qui fait que lors de ma prochaine commande j'en reprendrais sans hésité!


Ingrédients : eau, protéines de blé*, poivron rouge*, graisse de coco*, épices*, extrait de levure, oignons, sel de roche, épaississant (farine de caroube*), fumée**.
*Issu de l'agriculture biologique
**Fumée naturelle de hêtre
Contient céleri, moutarde et peut contenir des traces de soja.
Poids : 40g
1.10€ l'unité

Test : faux poisson panné

Gourmet Fish Free Fish Style fingers, de la marque REDWOOD


Ce pack contient 6 bâtonnet de taille et de poids similaire aux produits contenant du vrais poisson.
La panure et bluffante et tiens très bien la cuisson a la poêle.
Le goût est très agréable, bon le goût forcement comme c'est végétarien et également végan il n'y a aucune trace de poisson. Donc forcément cela n'a pas le goût poisson a proprement parlé.
MAIS il y a eu un vrais travaille de fait sur le goût, ou aucun ingrédient le prend le dessus sur les autres.
Comme on peut le voir assez souvent dans les produits végé, parfois on a par exemple le goût du Soja qui prend le dessus.
Ici pas du tout c'est vraiment un très bon produit et j'en recommanderais !

Ingrédients: eau, chapelure, protéine de soja, huile de tournesol, farine de froment, arôme, sel, oignon en poudre, épaississant carraghènane, condiments.
Poids : 215g

3.70€ le pack de 6 bâtonnet