mercredi 18 juillet 2012

Recettes de la semaine 1

les recettes ci dessous correspondent aux étoiles sur le menu.

Pâtes aux champignons
250g de pâtes 100% blé dur, 150g de champignons de paris, 3 cas d'huile d'olive, 1cas d'herbes hachées, 1 gousse d'ail écrasée, le jus d'un demi citron, sel poivre.
Coupez le pied des champignons. Gardez les têtes et essuyez-les avec un chiffon humide. Badigeonnez largement les têtes des champignons avec la moitié de l'huile d'olive. Faites-les griller sous le grill du four pendant 5 à 8 min. Coupez les champignons en lamelles, mettez les dans une jatte avec leur jus.
Ajoutez les restant d'huile, les herbes, l'ail, et le jus de citron. Mélangez bien, salez et poivrez. Ajouter les champignons aux pâtes (préalablement préparées comme indiqué sur le paquet), mélangez bien et servez chaud

Tarte aux lentilles corail
250g de pâte feuilletée, 150g de lentilles corail, 2 oignons émincés, 1 bouquet de persil haché, 150 de yaourt au soja nature, 400ml d'eau, graines de moutarde, curry, poivre de Cayenne, sel, poivre, huile d'arachide.
Rissoler l'oignon dans l'huile es laisser mijoter pendant 30min. Pendant ce temps, rissoler les graines, le curry et le poivre, leur ajouter les lentilles puis l'eau. Porter à ébullition puis laisser mijoter 20min environ. Mélanger les persil au yaourt, l'ajouter, ainsi que les oignons, aux lentilles, une fois la cuisson terminée. Étaler la pâte dans un moule, la garnir de la préparation et cuire 30min à 180°c.

Houmous
250g e pois chiches mis à tremper la veille (ou directement des pois chiches en conserve), 3 gousses d'ail hachées, le jus d'un citron, 2cs d'huile d'olive , 1cs de persil haché, une demi càc de cumin en poudre, 1 cs de purée de sésame ( ou une variante  avec de la purée d'amande).
cuire les pois chiches à l'eau bouillante salée durant 2h, jusqu'à ce qu'ils s'écrasent facilement sous la fourchette. Les mixedr avec un verre d'eau de cuisson, la jus de citron, l'ail, l'huile, le cumin et la purée de sésame. Saler et saupoudrer de persil haché.

Galette de céréales
150g de flocons 5 céréales, 2 verre d'eau, sel, herbes de Provence, ail en poudre, carotte râpée ou reste de légumes ou champignon ou oignons.
Dans un saladier versez les flocons, ajoutez l'eau, salez, ajouter quelques herbes de Provence, de l'ail en poudre, quelques carottes râpées, ou un reste de légumes. Laissez gonfler quelques min. Faites cuire  en galette pas trop épaisse dans une poêle. Faites bien dorer les deux faces.

Soupe paysanne
2 pommes de terre moyennes, 100g de haricots blancs en boîte, 2 belles feuilles de chou vert ou 1/2 chou, 1 carotte, 1 oignons, 1 gousse d'ail, 1cs d'huile d'olive, 30g de beurre végétal, 1 branche de thym, 1 feuille de laurier, persil, gros sel de mer, 1cc de poivre noir.
Lavez et épluchez les pomme de terre, les carotte et l'oignon, puis coupez-les en petits dès. lavez et émincez les feuilles  ou les morceaux de chou. Chauffez l'huile dans une marmite et faites revenir doucement l'oignon, jusqu'à ce qu'il devienne translucide. Ajoutez- les dès de carotte, les émincés de chou, le thym et le laurier. Ajouter lentement 75cl d'eau froide, salez légèrement, et faites cuire pendant 
la suite très bientôt


mardi 17 juillet 2012

La table CIQUAL a été mise à jour !

Datant de 2008 l'énorme base de donné de composition des aliments de l'ANSES a été enfin mise a jour avec de nouvelle fonctionnalité.

Composition nutritionnelle des alimentsTable Ciqual 2012 - Nouveautés 2012
> Acides gras individuels
> 140 aliments supplémentaires
> Vitamine K
> Recherche des aliments les plus riches ou les moins riches en…



et ça c'est super cool!!!


CIQUAL 2012

Manger fruits et légumes ne suffit plus !


Les trois quarts des Français ne respectent pas la recommandation officielle du Programme National Nutrition-Santé (PNNS) du gouvernement de manger au moins cinq portions de fruits et légumes différents par jour. Or fruits et légumes jouent un rôle protecteur dans la prévention de maladies apparaissant à l’âge adulte, comme les cancers, les maladies cardiovasculaires, l’obésité, le diabète.

Manger cinq fruits et légumes par jour ne suffit pas pour autant : au-delà de la quantité, il faut aussi se poser la question de leur qualité nutritionnelle.
En effet, pour jouer pleinement leur rôle, les fruits et légumes devraient être consommés rapidement après leur récolte et subir le minimum de process post-récolte possible, car leur valeur nutritionnelle, principalement leur contenu en vitamines, décroît avec le temps à un rythme plus ou moins élevé selon leurs conditions de récolte, de stockage et de transport.
L’importance des circuits courts pour une alimentation saine et riche en fruits et légumes
Ce constat d’une nécessaire augmentation de la consommation de fruits et légumes de proximité pour une meilleure santé du consommateur souligne le besoin de développer leur vente en circuits courts. Les circuits courts, caractérisés par deux grands types de commercialisation : la vente directe du producteur au consommateur et la vente indirecte via un seul intermédiaire, visent à répondre à une exigence grandissante des consommateurs de produits de terroir, de saison, sains, de qualité, préservant l’environnement et restaurant le lien social entre consommateur et producteur. Si l’intérêt économique, sociétal et environnemental des circuits courts est réel, ceux-ci peinent encore à peser en termes de parts de marché (on estime à 7% seulement le volume des fruits et légumes aujourd’hui distribués via des circuits courts) et font face à un certain nombre de freins à lever : logistique, économique, marketing, environnemental et à la formation.
Pour accompagner le développement des circuits courts de la manière la plus homogène possible sur le territoire afin, notamment, de réduire les coûts de logistique et de transport, on peut penser que le profil des exploitations françaises évoluera dans les prochaines années. En effet, aujourd’hui en France, les zones de grandes cultures (Bassin parisien, Beauce, …) et les zones d’arboriculture-maraîchage (Sud-Est, Poitou-Charentes,…) sont bien distinctes. Très peu d’exploitations spécialisées en grandes cultures se diversifient en arboriculture ou maraîchage et associent sur un même territoire ou une même parcelle cultures annuelles et pérennes…. Or, cela aurait du sens d’un point de vue économique comme environnemental et contribuerait à multiplier les exploitations profilées pour les circuits courts.
La consommation annuelle de fruits et légumes (frais et transformés) des Français ces dernières années est de 6,4 millions de tonnes. Pour respecter l’objectif du PNNS, elle devrait être de 10,7 millions de tonnes. Il faudrait donc consommer 4,3 millions de tonnes supplémentaires, dont on peut estimer que la moitié pourrait être produite en France. Ce sont donc 2,1 millions de tonnes qui pourraient avantageusement être produites en circuits courts, soit 25% du volume total de fruits et légumes produits actuellement en France. Ainsi le développement en France des circuits courts pourrait soutenir l’approvisionnement en fruits et légumes de qualité afin d’atteindre pleinement cet objectif du PNNS. Dans ce dossier de santé publique, il serait en effet dommage de ne regarder que la quantité sans se soucier de la qualité.
(Par Catherine Golden, Chef de projet chez BeCitizen, cabinet de conseil en stratégies de rupture créé en 2000. Catherine intervient auprès des grandes entreprises des secteurs de l’agriculture et de l’agroalimentaire pour imaginer les modèles économiques qui accéléreront la transition vers l’Economie Positive.)
source : green et vert

lundi 16 juillet 2012

Deux semaine d'idée menus : semaine 1

Semaine 1

Dimanche déjeuner
salade de crudités aux noix
pâtes aux champignons*
compote de pomme
Dimanche Dîner
tarte aux lentilles corail* et salade verte
fruit
Lundi déjeuner
Houmous* et bâtonnets de légumes
galette de céréales et ratatouille
yaourt soja et confiture
Lundi dîner
soupe paysanne*
Gâteau "simplicime"*
Mardi déjeuner
caviar d'aubergine*
risotto au champignons*
fruits
Mardi dîner
galette de tofu* et sa poêlée de légumes
compote de fruits
Mercredi déjeuner
feuilles de vignes
tarte tomate/moutarde et salade
crème dessert au soja
Mercredi dîner
dahl* et riz
salade de fruits
Jeudi déjeuner
salade de quinoa
cake courgettes/tomates séchées* et crudités
yaourt soja et confiture 
Jeudi dîner
poivrons à la sicilienne et boulgour
tarte aux prunes
Vendredi déjeuner
tartine de pâté végétale et graines germées
pomme de terre sautés et haricots vert
fruit
Vendredi dîner
chili sin carné* et ses galettes de maïs
crème chocolat*
Samedi déjeuner
salade de chou aux pommes
wok tofu et légumes sautés
gâteau pomme amande*
Samedi dîner
galette de sarrasin et poireau en crème
salade verte
fruit

Les plats marqué d'une étoiles je vous donnerais les recettes 
BON APPÉTIT!!

photo : véggie burger au steack SojaSun


lundi 9 juillet 2012

L’effet coupe-faim des protéines élucidé


Fréquemment recommandées dans les régimes amaigrissants, les protéines alimentaires ont fait la preuve de leur efficacité grâce à leurs effets « coupe-faim ». L’équipe de Gilles Mithieux, directeur de l’Unité Inserm 855 « Nutrition et cerveau» à Lyon, est parvenue à expliquer les mécanismes biologiques responsables de cette propriété.
Les chercheurs décrivent en détail les réactions en chaine provoquées par la digestion des protéines qui permettent de délivrer au cerveau un message de satiété, bien après le repas. Ces résultats, publiés le 05 juillet dans la revue Cell, permettent d’envisager une meilleure prise en charge des patients obèses ou en surpoids.
L’équipe de chercheurs Inserm, CNRS et Université Claude Bernard Lyon 1 est parvenue à élucider la sensation de satiété ressentie plusieurs heures après un repas riche en protéines. Elle s’explique par des échanges entre le système digestif et le cerveau, initiés par les protéines alimentaires que l’on trouve majoritairement dans la viande, le poisson, les œufs ou encore certains produits céréaliers.
Lors de travaux précédents, les chercheurs ont prouvé que l’ingestion de protéines alimentaires déclenche une synthèse de glucose au niveau de l’intestin, après les périodes d’assimilation des repas (une fonction appelée néoglucogenèse). Le glucose qui est libéré dans la circulation sanguine (veine porte) est détecté par le système nerveux, qui envoie un signal "coupe-faim" au cerveau. Plus connue au niveau du foie et des reins pour alimenter les autres organes en sucre, c’est au niveau de l’intestin que la néoglucogenèse délivre un message "coupe-faim" à distance des repas, caractéristique des effets dits "de satiété".
Dans ce nouveau travail, ils sont parvenus à décrire précisément comment la digestion des protéines provoque une double boucle de réactions en chaîne impliquant le système nerveux périphérique ventral (passant par le nerf vague) et dorsal (passant par la moelle épinière).
L’exploration dans le détail du mécanisme biologique a permis d’identifier des récepteurs spécifiques (les récepteurs µ-opioïdes[1]) présents dans le système nerveux de la veine porte, à la sortie de l’intestin. Ces récepteurs sont inhibés par la présence des oligopeptides, produits de la digestion des protéines.
Dans un premier temps, les oligopeptides agissent sur les récepteurs µ-opioïdes qui envoient un message par la voie du nerf vague et par la voie spinale vers les zones du cerveau spécialisées dans la réception de ces messages.
Dans un second temps, le cerveau envoie un message-retour qui déclenche la néoglucogenèse par l’intestin. Cette dernière initie alors l’envoi du message "coupe-faim" dans les zones du cerveau contrôlant la prise alimentaire, comme l’hypothalamus.

L’identification de ces récepteurs et de leur rôle dans la néoglucogenèse intestinale permet d’envisager de nouvelles pistes thérapeutiques dans le traitement de l’obésité. L’enjeu est de déterminer la façon d’agir sur ces récepteurs µ-opioïdes pour réguler durablement la sensation de satiété. Selon Gilles Mithieux, principal auteur de ce travail : « Sollicités trop fortement, ces récepteurs peuvent devenir insensibles. Il faudrait donc trouver le meilleur moyen de les inhiber "modérément", afin de garder leur effet bénéfique à long terme sur le contrôle de la prise alimentaire ».
(1) Récepteurs connus au niveau du cerveau pour leur rôle dans le système nerveux du plaisir et impliqués notamment dans les effets antidouleurs de la morphine.
(Celine Duraffourd, Filipe De Vadder, Daisy Goncalves, Fabien Delaere, Armelle Penhoat, Bleuenn Brusset, Fabienne Rajas, Dominique Chassard, Adeline Duchampt, Anne Stefanutti, Amandine Gautier-Stein, Gilles Mithieux. "Mu-Opioid Receptors and Dietary Protein Stimulate a Gut-Brain Neural Circuitry Limiting Food Intake". Cell, 5 juillet 2012 )
source : INSERM


mardi 3 juillet 2012

Maigrir sans boissons sucrées



Remplacer les boissons sucrées par de l’eau ou des boissons « diététiques » : un premier pas, modeste, mais intéressant, pour perdre un peu de poids. L’expérience a été tentée chez plus de 300 adultes en surpoids ou obèses. La suppression des boissons sucrées leur a enlevé 230 calories par jour et fait perdre 2 kg en 6 mois. Les boissons diététiques sont souvent mieux acceptées, mais ceux qui s’en tiennent à l’eau voient aussi baisser leur glycémie et leur pression artérielle. Au total, les expérimentateurs jugent la méthode encourageante. Elle permet d’espérer perdre 2 à 2,5 % du poids corporel en 6 mois. Et jusqu’à 5 % peut-être pour les plus chanceux ou persévérants.
(TATE DT, ET AL. AM J CLIN NUTR 2012 ; 95 :555-563)

jeudi 28 juin 2012

Mes excuses

Bonsoir vu l'heure !
je suis venu m'excuser de mon absence prolongé, étant un poil stressé j'ai pris un moment pour me détendre et faire un petit point.
Mais je vais revenir très bientôt avec pleins de recettes simple et très rapide.
des infos sur la diététique des végétaliens et végétariens.
Et bien sur des photos car je suis aussi photographe et je m'en étais éloigné ces derniers temps sans le vouloir mais plutôt a cause de mon morale bref !
A très bientôt et merci de vos visite régulière !
Surtout n'hésiter pas a laisser des petits commentaires ça fait toujours plaisir!

Lily

samedi 16 juin 2012

Evolution du blog

Etant étudiante en diététique je pourrais vous proposer des articles plus diététique sur le végéta*isme.
Sinon des recettes, ou différents articles sur des produits diététiques et végé.

 A vous de me dire ce qui vous intéresse le plus !

A vos commentaires !!

mercredi 13 juin 2012

Test : Faux Fromage Ail et Fines Herbes

Creamy Smooth, Garlic and herbs TOFUTTI

LE tant attendu Test du faux fromage a tartiner ail et fines herbes!
Je vais être honnête il est cher pour ce que c'est.
3.90€ pour a peine 225gr. Quand on l'ouvre on a le visuel d'un pot d'enduit de rebouchage ... (oui je suis très honnête j'avais prévenu) mais au tratinage la texture relève quand même d'un jolie travail.
Au goût on sent très fort le Tofu malheureusement ... MAIS ensuite on sent bien l'ail et les herbes et c'est bon. Je n'ai pas eu l'occasion de cuisiner avec, uniquement en tartine et j'ai apprécier mais je n'en reprendrais ou alors je tenterais une autre marque.


Ingrédients : eau, huile de fèves de soja partiellement hydrogénée, protéine de soja isolée, édulcorant à base de maïs, tofu, acide lactique, sucre, stabilisant (graines de caroube, gomme de guar et carraghénanes), épices, persil, ail, sel, émulsifiants (mono et diglycérides), conservateur (sorbate de potassium).
Poids : 225g 3.90€

dimanche 10 juin 2012

Article de Blog : En France les végétariens gagnent du terrain

Article paru le 10 juin 2012 sur le Blog "Quand l'appétit va"


Ce mois-ci, Terra Eco propose un dossier intitulé “Et si les végétariens avaient raison?”… Même si “on est encore très loin d’un raz-de-marée tofu-graines germées”, le végétarisme gagne du terrain en France ces derniers temps (le nombre d’adhérents de l’Association végétarienne de France a doublé en 3 ans, Picard sélectionne des produits végétariens, les excellents restos végétariens se multiplient, des “gens de lettres” dévoilent leurs tendances végétariennes…).
Les chiffres au sujet des végétariens se font rares et le dossier de Terra Eco les actualise avec un récent sondage réalisé avec Opinion Way sur un échantillon de 1000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Ce qui donne des données intéressantes sur le végétarisme en France:
- 3% des personnes interrogées se disent végétariennes. En 2007, l’Union végétarienne européenne avançait le chiffre de 2% pour la France… En comparaison, les végétariens sont 6% au Royaume-Uni et 9% en Suisse et en Allemagne.
- 75% des végétariens interrogés le sont pour ne pas faire souffrir les animaux…67% veulent aussi “consommer de façon responsable et protéger l’environnement”, et 53% pensent à des questions de santé.
- 59% des végétariens jugent que leur vie sociale pâtit de leur régimes alimentaire, à cause de réflexions désobligeantes ou de marques d’incompréhension.
- 55% des non-végétariens pensent que ce régime alimentaire est dangereux pour la santé, et 57% pensent qu’il est inutile ou sans intérêt.
- 27% des non-végétariens seraient prêts à le devenir, ou au moins à devenir “flexitarien”, c’est à dire végétarien à mi-temps…
- 56% des végétariens affirment qu’ils ont du mal à se nourrir selon leur choix en France, notamment dans les restaurants et les snacks. Pour eux, il serait plus facile d’être végétarien dans un autre pays…
Enfin, notez que dans ce dossier, un article sur “la chute de l’ancien régime carnivore” permet de démonter certaines idées reçues sans doute souvent entendues par les végétariens de France et d’ailleurs. Par exemple, l’argument “Sans viande, bonjour les carences: protéines, fer, vitamine B12″ est contré par une déclaration de l’Association Américaine de diététique: “les alimentations végétariennes (y compris végétaliennes) bien conçues sont bonnes pour la santé”. Les acides aminés présents dans la viande peuvent aussi être dénichés dans une combinaison de céréales et de légumineuses. On y trouve aussi du fer, comme dans les brocolis, les haricots verts, les prunes…
Autres idées reçues, “la blanquette n’est pas de la viande, c’est de la gastronomie” (mais aujourd’hui, les légumes ont toute leur place dans la gastronomie française, et la viande n’est plus la base absolue de la bonne cuisine…) ou “sans élevage, il n’y a pas d’agriculture de qualité”: mais la plupart des végétariens sont surtout contre les élevages industriels et la surconsommation, et ne veulent quand même pas éradiquer toute trace d’élevage sur la terre…

Article de Presse : et si les végétariens avaient raison ?

Article paru dans le magasine TerraEco le 24 mai  2012.

Ne plus faire souffrir les animaux, refuser leurs conditions d’élevage, réduire son impact écologique sur la planète. Les raisons qui poussent un nombre croissant de Français à se détourner de la viande ne manquent pas. Et la minorité, souvent moquée, devient tendance. La bidoche cessera-t-elle bientôt d’être un horizon indépassable pour notre assiette ?



Une vague végétarienne déferle-t-elle sur la France ? Pas si vite. On est encore très loin d’un raz-de-marée tofu-graines germées. Les chiffres en la matière sont rares. L’Union végétarienne européenne avance qu’au pays du bœuf bourguignon le nombre de végétariens tourne autour de 2 % de la population. Ils seraient 3 %, selon notre sondage (lire ici). Ce qui place la France en queue de cortège européen. Ils sont en effet 6 % au Royaume-Uni, 9 % en Suisse et en Allemagne. Pas de quoi craindre l’extinction des boucheries. Pourtant, le végétarisme marque des points dans l’Hexagone ces temps-ci. Des indices ? On vous les donne pêle-mêle. Le nombre d’adhérents à l’Association végétarienne de France a doublé en trois ans.
Un joli logo « Convient aux végétariens » a fait son apparition sur une sélection de produits surgelés de la chaîne de supermarchés Picard. Dans la capitale, il n’y a pas si longtemps, les rares restos sans chair animale dans l’assiette faisaient fuir les gourmets avec leurs jus de carotte fadasses et leur triste riz complet macrobiotique. Mais depuis peu fleurissent des adresses bien plus attirantes.« Un vent de glamour, venu des pays anglo-saxons, souffle sur la planète veggie parisienne », écrit même Alcyone Wemaëre, auteure d’un indispensable guide Paris végétarien (Parigramme, 2012).
Glamour, les végétariens frenchy ? Pas tant que ça. Chez nous, pas de Natalie Portman, l’actrice oscarisée, ou de Paul et Stella McCartney, l’ex-Beatle et sa fille styliste, pour faire l’apologie de la vie sans viande. Non, ce que nous avons – depuis peu –, ce sont des intellos qui font leur coming out végétarien, avec des arguments philosophiques.
Le coming out des gens de lettres
Marcela Iacub, juriste, essayiste et chroniqueuse dans Libération est connue pour bousculer les idées reçues, sur la sexualité notamment. Mais l’an dernier, dans son ouvrage Confessions d’une mangeuse de viande (Fayard), c’est en végétarienne subitement convertie qu’elle surprend. Cette Argentine élevée comme il se doit à la parrilla, le barbecue local, à qui les bouchers parisiens faisaient de l’œil tant sa passion pour leur art était grande, a subi un choc profond en lisant un texte de Plutarque, Manger la chair.
Le grand patron de l’hebdomadaire Le Point, Franz-Olivier Giesbert, connaît lui aussi ce texte de Plutarque. Mais son dégoût pour les animaux morts lui vient, à l’origine, de son amour pour saint François d’Assise. Il consacre à son statut de végétarien quelques chapitres de son dernier essai, paru au début de l’année, Dieu, ma mère et moi (Gallimard). Alors, non, c’est vrai, tout ça ne forme pas un raz-de-marée végétarien… Mais on peut, sans trop exagérer, parler d’une nette tendance. La meilleure preuve ? Elle nous vient de l’industrie de la viande elle-même. René Laporte et Pascal Mainsant ont tous les deux fait leur carrière dans le secteur, sont membres de l’Académie de la viande – un organisme chargé d’en faire la promotion – et viennent de signer La viande voit rouge, chez Fayard. Ce qu’ils appellent le « front antiviande » – cette « sorte de galaxie de la cause “ animalitaire ” et environnementale » – fait, selon eux, beaucoup de bruit. Et ça les énerve.
Prise de conscience
Les deux auteurs essayent, avec plus ou moins de bonne foi, de démonter les arguments « anti-viande ». Pour eux, tout va bien, on peut continuer comme si de rien n’était. Il n’y a pas de souffrance dans les abattoirs. On peut nourrir la planète, avec 9 milliards d’humains en 2050, en consommant toujours autant de viande. La FAO, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, qui rend l’élevage responsable de 18 % des émissions de gaz à effet de serre ? Elle exagère, tout simplement.
Il faut dire que les charges médiatiques contre l’industrie de la viande se sont multipliées ces derniers temps. Il y a eu l’enquête Bidoche de Fabrice Nicolino en 2009 (aujourd’hui en poche, chez Babel) décrivant un « système échappant à tout contrôle social et moral ». En 2010, c’est le Faut-il manger les animaux ? (L’Olivier) de Jonathan Safran Foer qui a frappé les esprits. Au terme d’une longue et passionnante plongée dans l’élevage industriel et traditionnel, l’écrivain américain conclut que « la viande éthique est une promesse, non une réalité » et prend la décision de devenir végétarien. En 2011, on a pu lire encore dans Le livre noir de l’agriculture, d’Isabelle Saporta (Fayard), l’abominable calvaire subi par les cochons avant de devenir lardons. La télé aussi s’y met et à des heures de grande écoute. Arte passait une soirée entière en mars dernier à nous demander « Faut-il manger de la viande ? » Et un mois plus tôt, Envoyé spécial, sur France 2, diffusait un reportage baptisé « La viande dans tous ses états » qu’il était déconseillé de montrer aux moins de 10 ans. Et pour cause : on y voyait des scènes de souffrance animale insoutenables. On y apprenait aussi que 30 des 275 abattoirs français présentent des défauts importants, voire graves, et devraient être fermés, selon l’Union européenne !
Emotions et barquettes en plastique
Impossible de se confronter à ces réalités, puis de mettre un bifteck dans son assiette sans malaise. Impossible, si l’on commence à regarder son jambon en face de ne pas s’interroger sur la crise écologique et sur notre rapport aux animaux. 75 % des personnes que nous avons sondées affirment être végétariennes pour ne pas les faire souffrir. C’est la principale motivation. Pas étonnant. Car, dit en substance la philosophe Florence Burgat, auteure d’Une autre existence : la condition animale (Albin Michel, 2012), notre époque vit un paradoxe violent.
D’un côté, on prend conscience que les animaux ont des émotions aussi complexes que les nôtres. De l’autre, les milliards de bêtes que nous tuons chaque année nous apparaissent sous forme de simples produits, dans des barquettes en plastique ! Alors les végétariens ne sont pas encore légion, certes. Mais leur mode de vie nous met face à nos contradictions. Les questions qu’ils soulèvent se glissent de plus en plus dans le débat sur notre alimentation. Et si on commençait à y réfléchir sérieusement ? A table ! —

lundi 4 juin 2012

Test : Faux chorizo

SpaceBar Chorizo (bio) 

Petite barre de chorizo de 40g à emporter partout et en plus de ça, le goût et la texture sont géniale!
Un léger goût piquant qui fait que lors de ma prochaine commande j'en reprendrais sans hésité!


Ingrédients : eau, protéines de blé*, poivron rouge*, graisse de coco*, épices*, extrait de levure, oignons, sel de roche, épaississant (farine de caroube*), fumée**.
*Issu de l'agriculture biologique
**Fumée naturelle de hêtre
Contient céleri, moutarde et peut contenir des traces de soja.
Poids : 40g
1.10€ l'unité

Test : faux poisson panné

Gourmet Fish Free Fish Style fingers, de la marque REDWOOD


Ce pack contient 6 bâtonnet de taille et de poids similaire aux produits contenant du vrais poisson.
La panure et bluffante et tiens très bien la cuisson a la poêle.
Le goût est très agréable, bon le goût forcement comme c'est végétarien et également végan il n'y a aucune trace de poisson. Donc forcément cela n'a pas le goût poisson a proprement parlé.
MAIS il y a eu un vrais travaille de fait sur le goût, ou aucun ingrédient le prend le dessus sur les autres.
Comme on peut le voir assez souvent dans les produits végé, parfois on a par exemple le goût du Soja qui prend le dessus.
Ici pas du tout c'est vraiment un très bon produit et j'en recommanderais !

Ingrédients: eau, chapelure, protéine de soja, huile de tournesol, farine de froment, arôme, sel, oignon en poudre, épaississant carraghènane, condiments.
Poids : 215g

3.70€ le pack de 6 bâtonnet 

vendredi 25 mai 2012

ma commande n°1 chez "Un monde Vegan"


dans cette commande j'ai pris les produits qui manque le plus pour des végé débutant c'est à dire :
- de la pâte a tartiner au chocolat
- du parmesan
- des tranches de fromages types "toastinnette" au "cheddar"
- des saucisses types "knackie"
- du faux jambon
- du faux jambon de poulet
- du fromage a tartiner ail et fines herbes
- un ptit bâton de faux chorizo
- des morceaux de faux "poulet"
- des faux bâtonnets de "poisson" pannés
et 'ai eu en cadeau des bonbons au fruits

TOUT les produits de ce site sont VEGAN c'est à dire sans AUCUN produits animaux ou sous produits animaux, sans lait, sans gélatine, sans oeuf etc ...

je vous donnerais mon avis sur ces produits dans les prochains articles.

une illustratrice de talent




jeudi 24 mai 2012

les corridas mal barrées


par Claude Canellas
BAYONNE, Pyrénées-Atlantiques (Reuters) - La désaffection qui frappe les corridas en Espagne gagne la France, où les effets de la crise économique et la perte d'intérêt pour l'art tauromachique ont contraint les organisateurs à revoir leurs ambitions à la baisse.
La terre de tradition qu'est l'Espagne a enregistré selon les chiffres du ministère de l'Intérieur ibérique cité par le quotidien El Pais une baisse de 34% du nombre de corridas organisées entre 2007 et 2010, et même de 51% en Andalousie, la région pourtant la plus emblématique en ce domaine.
Depuis, l'interdiction de la corrida dans la grande région de Catalogne a pris effet le 25 septembre dernier après une dernière réunion dans l'arène barcelonaise, La Monumental.
Ce tassement de l'"aficion" a franchi les Pyrénées au point qu'en octobre dernier, les sept représentants des arènes françaises de première catégorie se sont réunis à Bayonne, l'une des places les plus touchées par les déficits.
Les principales places taurines du Sud-Ouest limitent les budgets tant pour l'organisation des corridas que pour les fêtes populaires qui les entourent.
Dans la capitale du Pays basque, avec l'organisation en 2011 de sept corridas au lieu des six habituelles avec un plateau plus prestigieux et donc plus coûteux, la baisse de fréquentation a creusé un trou de 400.000 euros, dix fois plus que l'année précédente où déjà il s'était élevé à 40.000 euros.
A l'ombre des arènes bayonnaise, le "groupe des sept" a adopté une charte visant notamment à obtenir de la part des toreros et des éleveurs une baisse de 20% des cachets au-delà de 60.000 euros.
"L'avenir de la corrida en France était en jeu", reconnaît le maire de Mont-de-Marsan (Landes) Geneviève Darrieussecq, par ailleurs présidente de l'Union des villes taurines françaises. "La corrida souffre de la même baisse de spectateurs que tous les autres spectacles."
La préfecture des Landes est pourtant la moins touchée par la récession mais l'heure est aux économies.
LE COÛT DE LA SÉCURITÉ
Cinq corridas formelles ont été programmées en 2012 pour un budget global de 1,2 million d'euros contre 1,35 en 2011.
A Dax, où corridas et fêtes attirent 800.000 personnes en août, l'ensemble coûte environ 4 millions d'euros, dont 700.000 pour le nettoyage et la sécurité, en augmentation de 30%.
Ces fêtes traditionnelles doivent faire face notamment aux excès d'alcool et aux incivilités. Dax a pris des mesures et dès 2013 l'ensemble sera ramené de six à cinq jours et désormais tout est fermé à 3h00 au lieu de 4h00.
Un signal fort a été donné par la petite ville de Vic-Fezensac dans le Gers qui a de manière radicale, avec l'accord de 51% des habitants consultés, décidé d'annuler durant deux ans les fêtes "Pentecôtavic" tout en maintenant les corridas.
La fréquentation prévue du 26 au 28 mai est de l'ordre de 15.000 personnes au lieu des 70.000 de l'an passé, ce qui devrait limiter les désagréments vécus par les riverains.
A Mont-de-Marsan, Geneviève Darrieussecq a mis en place une nouvelle donne dès son arrivée en 2008.
"Je trouvais qu'une semaine de fête c'était trop et nous avons réduit à cinq jours, mais avec des animations la journée, ce qui a ramené les familles", dit l'élue
La commune y consacre en 2012 un budget de 250.000 euros dont une part importante pour la sécurité des 450.000 visiteurs.
A Bayonne, les fêtes, qui sont dissociées des corridas, sont devenues un évènement populaire mais aussi un souci financier.
"Pour assurer la sécurité de la première manifestation festive de France, on est obligé de prendre des mesures de plus en plus coûteuses, soit 1,1 millions d'euros en 2011 dont 75% liés à la sécurité", reconnaît le maire UMP Jean Grenet.
Des économies de 300.000 euros et l'apport de 500.000 euros de partenariat par Alain Afflelou, président du club de rugby local, ont évité de supprimer une journée et de ramener le budget à un niveau de 350.000 à 400.000 euros.
Edité par Yves Clarisse

mercredi 16 mai 2012

Le mythe de la carence en protéine.


Autrefois, les gens pensaient qu'on ne consommait jamais trop de protéines.
Au début des années 1900, on disait aux Américains de manger au moins 100 g de protéines par jour. Et encore dans les années 50, on encourageait les gens à augmenter leur consommation de protéines s'ils voulaient rester en bonne santé.

De nos jours, aux États-Unis, certains régimes d'amaigrissement prônent un apport élevé de protéines, et cela malgré le fait que les Américains en consomment déjà deux fois plus qu'ils n'en ont besoin. Les gens qui suivent ces régimes perdent effectivement du poids dans un premier temps, mais ils ignorent généralement les risques que cette forte consommation de protéines entraîne pour leur santé. Il existe en effet un lien entre l'excès de protéines et l'ostéoporose, les maladies rénales, les calculs des voies urinaires et certains cancers.


Problèmes engendrés par un excès de protéines


Le Français moyen qui consomme
de la viande et des produits laitiers absorbe souvent trop de protéines. Cela peut provoquer divers
graves problèmes de santé :

- Troubles rénaux : Lorsque les gens mangent trop de protéines, ils absorbent plus d’azote que nécessaire. Cela entraîne un surcroît de travail pour les reins, obligés de faire évacuer par les urines cet excès d’azote. Les personnes souffrant d’insuffisance rénale sont encouragées à consommer des aliments pauvres en protéines, car cela fait baisser les taux excessifs d’azote. Cela peut également aider à prévenir les maladies rénales.
-Cancer : Bien que l'on accuse généralement les graisses d'être à l'origine de l'accroissement du risque de cancer, les protéines jouent elles aussi un rôle. Les populations qui consomment ré-gulièrement de la viande sont davantage exposées au cancer du côlon et les chercheurs sont persuadés que graisses, protéines, carcinogènes naturels et absence de fibres dans la viande sont autant d'éléments à mettre en cause. En 1997, un rapport du World Cander Research Fund et de l’American Institute for Cancer Research intitulé « Food, Nutrition, and the Prevention of Cancer » a établi un lien entre les protéines et certains types de
cancer.
- Ostéoporose et calculs rénaux : Les régimes riches en protéines animales entraînent une excrétion de calcium supérieure à la normale par l'urine, et cela augmente le risque d'ostéoporose. Les pays à basse consommation de protéines connaissent moins de cas d'ostéoporose et de fractures de la hanche. Une augmentation de l'excrétion de calcium accroît le risque de calculs rénaux. Des chercheurs anglais ont montré qu'en ajoutant environ 150 g de poisson (soit à peu près 34 g de protéines) à une alimentation normale, le risque de voir se former des calculs rénaux s'élève de 250 %.  On a longtemps cru que les athlètes avaient davantage besoin de protéines que les autres personnes. La vérité est qu'ils en ont besoin de seulement un tout petit peu plus, chose facile à réaliser puisqu'ils mangent de toute façon davantage pour satisfaire leur
besoin accru de calories. Les régimes végétariens sont parfaits pour les athlètes.  Pour avoir suffisamment de protéines, mais pas trop non plus, il suffit de remplacer les produits animaux par des céréales, des légumes, des légumineuses (pois, haricots et lentilles) et des fruits. Tant que l'on mange diverses variétés d'aliments végétaux en quantité suffisante pour que le poids du corps reste stable, on absorbe largement assez de protéines.

source : avf


comment

Devenir végétarien(ne) végétalien(ne) ou végan(ne) ??

Petit à petit ! et pas du jour au lendemain car c'est le meilleur moyen de ne pas y arriver.

Il faut passer par les étapes: réfléchir, chercher, étudier, préparer, planifier, AGIR.
Ces différentes étapes peuvent aller plus ou moins vite en fonction :
- de vos acquis sur le sujet
- si vous cuisinez régulièrement ou non.

J'ai souvent vu le conseil de choisir des plats que l'on fait souvent, et qui ne sont pas accompagné de viande ou des plats où la viandes peut être facilement évité
- des gratins
- lasagnes
- salades
- assiettes de pâtes ou de riz
- etc..

Je trouve ce conseil plutôt bon et facile à appliquer. Le but est de garder en tête les raisons de son choix, de respecter le principe du végétarisme, végétalisme ou véganisme.

Si cela devient difficile ou que le courage et la volonté vous manque c'est que soit :
- vous ne croyez pas a 100% en vos convictions
- soit vous avez grillé les étapes et que vous êtes perdu
- soit que vous manquez d'informations pour savoir gérer votre nouveau mode d'alimentation, et que vous n'arriver pas à l'appliquer en toute situation.

Dans tous les cas, je serais la pour vous aider !

samedi 12 mai 2012

Bon au goût

Si vous avez déjà été déçu par un "mauvais tofu" ou un plat 100% végétarien ou "bizarre", ne vous arrêtez pas à ces désagréables expériences. On peut aussi tomber sur un steak "plein de nerfs" qui résiste ou sur des fruits de mer "qui ne sentent pas bon".
Envisagez les choses sous un autre angle en reprenant tout à zéro.
Posez-vous cette question simple : appréciez-vous le coucous (semoule) ? Nous connaissons déjà la réponse .
Maintenant interrogez vos proches : aiment-ils la salade de lentilles ? En général "ouiii".
les pâtes ? re-ouii , une bonne assiette de riz basmati à l'huile d'olive et au sel poivre.
Un épi de maïs à croquer, griller au barbecue ?  Appréciez vous, dans une salade, de "tomber" sur des brisures de noisettes, des cerneaux de noix, des pignons de pin ?

Ces petits plaisirs simples font généralement partie des bons souvenirs alimentaires qui nous viennent à l'esprit.

Des jours sans

Et des jours avec. pardon de mon absence de ces derniers jours, des soucis perso on interféré dans ma possibilité d'enrichir ce blog pendant quelques jours.

Promis les prochains billet sont bourré d'infos !

Lily

jeudi 3 mai 2012

pourquoi ?

pourquoi le devenir? 
plusieurs  raison sont évoqué sur les blog les forum etc.


- pour la santé : l'Américan Diététique Association, association franco-canadienne de diététique indépendante de tout lobby agroalimentaire , a fourni en 2003 son dernier rapport officiel .


bien menée, l'alimentation végétarienne est bonne pour la santé et bénéfique pour la prévention et le traitement de certaines maladies. Obésité, diabète,problèmes cardiovasculaires, cancers, ostéoporose.
Ne mangeant pas de chair animale, ls végétariens absorbent des quantités infiniment plus faibles de substances nocives contenue dans la viande. Par exemple, graisses saturées, cholestérol, toxines en tout genre, métaux lourds, pesticides et autres produits chimiques.


- pour le tiers monde : Pour produire 1 unité de viande il faut 10 unités de végétaux , ces 10 unités de végétaux pourrais nourrir 10 personnes de façon végétarienne.


- Pour l'écologie : Avez-vous entendu parler de la pollution des nappes phréatiques par les élevages intensifs de porcs dans plusieurs régions de France (Bretagne, Alsace)? Avez-vous vu ou entendu un reportage sur la déforestation en Amérique du Sud au profit de champs de soja OGM à destination des élevages de poulets des pays riches? Saviez-vous que la FAO (organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture) a publié en 2006 des conclusions accablantes sur l'élevage bovin? Voici un communiqué de presse y faisant référence: "l’élevage de bovins produit-il davantage de gaz à effet de serre que les véhicules automobiles? Aussi étonnant que cela puisse paraître, la réponse est oui". Outre les gaz à effet de serre, le rapport cite aussi les pluies acides, la destruction des sols, des forêts, et des eaux.
La conclusion est simple: la meilleure chose à faire pour l'environnement est de devenir végétarien. 
- Pour les animaux : Etre végétarien, c'est agir pour soi, et pour notre environnement. Mais les bénéficiaires directs de ce choix sont les animaux! Qu'on les aime ou non, le bon sens (et la science si nécessaire) montre qu'ils souffrent physiquement comme les humains et ressentent diverses émotions allant de la joie à la tristesse en passant par la peur, la colère et tout l'éventail de nuances attribuées auparavant aux seuls humains. Comme le montre l'éthologie, qui chaque jour comble un peu plus le fossé entre animaux humains et non-humains, ces derniers ont une vie sociale et psychologique très développée, certaines espèces surpassant parfois l'Homme dans des domaines précis.
Chaque année, en France, plus d'un milliard d'animaux sont transportés puis tués dans les abattoirs. De la vache au poulet, tous souffrent comme notre toutou préféré ou notre chat adoré dont le moindre éternuement nous inspire compassion et attendrissement. Ils meurent dans la peur et la souffrance souvent longues et intenses communes à tout processus de transport et d'abattage en masse. Réalisez-vous? Réaliser, et accepter de maintenir la connexion à l'esprit lorsque nous choisissons notre menu: connexion directe entre un gigot d'agneau et l'agneau si mignon aperçu au détour d'une balade ou d'une émission télévisée; connexion directe entre un steack et le doux museau du veau caressé avec tant de plaisir hier matin. Connexion directe entre viande et souffrance animale.
Et quand bien même la souffrance animale serait réduite à une seconde (ce qui n'est pas envisageable dans le cadre de l'élevage intensif), prendre la vie d'un animal alors que ce n'est pas nécessaire est-il un acte juste? C'est une question à laquelle il existe autant de réponses que de personnes sur terre.
Etre végétarien est le meilleur moyen pour combattre la souffrance des animaux d'élevage, et permet à chacun de sauver entre trente et cent vies par an*!
*par rapport à la consommation moyenne d'un français.

qu'est ce que ?

Le Végétarisme est un mode d'alimentation qui exclu TOUTES chairs animales, poisson compris.
Le végétarisme peut inclure ou exclure certains aliments issus du règne animal comme le lait et les oeufs.
On appel cela le Lacto-ovo-végétarisme.

Les personnes qui incluent le poisson sont Pesco-végétariens , ou Flexitariens. Ce terme est utilisé pour les personnes qui mangent de temps en temps du poisson ou de la viande mais hors des normes des apports nutritionnels conseillés par l'ANSES.

Le Végétalisme est un végétarisme strict, c'est un mode d'alimentation qui exclut toutes chairs animales (viande, poissons, crustacés, mollusques, etc) ainsi que les produits d'origine animale (oeufs, lait, miel, etc) certains végétalien(ne)s rejettent également les produits dérivés des animaux (gélatine, présure, etc)

Le véganisme est un mode de vie basé sur le refus de l'exploitation des animaux. Au-delà d'être végétalien, les végan condamnent la production, la consommation ou l'achat de tout produit issus des animaux ou testé sur eux (cuir, fourrure, laine, soie, cire d'abeille, cosmétiques, loisirs (cirques, zoos) )


Alors ? et vous, vous en êtes ou ? ;)





le reportage qui dénonce tout (avertissement public sensible)

je vous propose pour commencé le reportage Earthlings (terriens en français) ce reportage traite de tout ce qui ne va plus dans notre société du coté nature animaux et consommation.

avertissement cette vidéo pourrait choquer un public sensible

http://www.earthlings.com/

c'est par ici que tout commence

Bonjour je me présente lily 26ans végétarienne et étudiante en diététique.
Je vous souhaite la bienvenue avec moi, par ce blog vous allé connaître beaucoup de chose sur le végétarisme, végétalisme, véganisme, écologie.
Et aussi le trop grand nombre de chose que l'on fait subir a notre gentille terre .
Je ne suis pas ici pour faire propagande mais pour informer, aider, conseiller, à ceux qui veulent le devenir mais n'ont jamais franchis le pas, ou qui veulent juste s'informer.
les thèmes aborder seront très varié, allant de la cuisine, de la diététique, de l'écologie, des grandes causes mondiale.
N'hésiter pas a venir contribuer a ce blog
a bientôt
LILY